• Bekopaka, porte des Tsingys

      Tout comme la sœur adoptive de Jean Noël, Olga est commerçante à Bekopaka. Ce village est situé à l’ouest et il est traversé par le flux de touristes qui vont visiter les grands Tsingys situés à proximité. Les structures hôtelières proches du village sont encore sommaires (mais ô combien pittoresques) et   leurs besoins en nourritures, fournitures et personnels assurent l’activité économique.  Quelques gargotes améliorées permettent l’accueil des touristes les plus aventureux. Précarité identique à celle de Belo sur Tsiribihina pour exactement les mêmes raisons.

     

    Békopaka porte des Tsingys

     

    Békopaka porte des Tsingys

     

       Le piroguier est déjà bien fatigué par son métier et sa vie quotidienne. Il fait plus que ses 53 ans. Sa vue souffre de la réverbération sur la rivière.

       Il promène les touristes sur le fleuve Manambolo afin de leur faire découvrir les sépultures des situées dans des hautes cavités à flan de falaise. Elles sont attribuées aux Vazimba, les premiers occupants des lieux. Pour ce faire, les pirogues sont couplées par deux à l’aide de planches, ce qui a le double avantage de stabiliser l’embarcation et d’augmenter sa capacité.

       Le Manambolo coule non loin de Bekopaka où le piroguier réside. Il longe les petits Tsingys sur sa rive droite au niveau du passage du bac.

     

    Békopaka porte des Tsingys

     

    Békopaka porte des Tsingys


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